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| Message de: Mumumar / Voir sa fiche
Merci Lilian pour la musique, t'as raison ti moment de plaisir, lol
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| Message de: Mumumar / Voir sa fiche
Le dancehall, holala, je jour ou j'arrive à danser comme ca, les poules auront des dents, mdr. Cela dit, pouvoir le faire comme ca doit etre un regal. Moi, j'essaye de me defendre comme je peux.
Je pense qu'il suffit de se laisser guider par le rythme de la musique et ecouter son corps avat tout, et la magie s'opere.. En effet Chacalet, un pur moment de bonheur.
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| Message de: Chacalet83 / Voir sa fiche
Merci Lilian tiens un morceau où l'on aperçoit Shisha et son acolyte Axxia sur un son qui ferait bouger les plus raides ;) suffit de se laisser aller....Pur son de Madinina!
http://www.youtube.com/watch?v=4Ac1BlBX-Q4
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| Message de: Chacalet83 / Voir sa fiche
Un petit bonus juste pour le plaisir de le faire partager un peu plus langoureux dans l'éxécution...
http://www.youtube.com/watch?v=j8VzvOscl-4
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| Message de: Lilian83 / Voir sa fiche
J'ai comme une préférence pour le second ^^
Merci Chacalet et Mumu que je salue au passage
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| Message de: Michelle34 / Voir sa fiche
Moi j adore le coller serrer, je danse pratiquement tt, 12 ans de danse!!!Le zook c est mon dada.
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| Message de: Gwendoli83 / Voir sa fiche
http://www.youtube.com/watch?v=4aTodo2-fPk
Une nouvelle danse fait des ravages en Jamaïque de nos jours, provoquant des lésions sexuelles graves chez les hommes à tel point que le gouvernement a décidé d'intervenir pour interdire tout simplement cette chorégraphie populaire qui consiste à « faire l'amour à blanc ».
Si le « daggering » est en effet une danse aux accents érotiques très prononcées, ce qui n'est pas pour nous déplaire, là où le bas blesse c'est qu'elle comporte des mouvements violents et de fortes pressions saccadées du pénis contre les fesses de la partenaire. Sur une piste de danse, ça passe encore, mais lorsque le « daggering » est transporté dans les alcôves, les dégâts sont multiples. Les médecins jamaïquains estiment ainsi que les accidents de pénis cassé ont triplé en moins d'un an chez les hommes qui ont joué dans un lit moite au champion du « daggering » pendant l'acte sexuel.
En effet, le verbe « daggering » signifie en anglais faire usage du « dagger », terme issu du mot français dague, autrement dit il s'agit de percer, poignarder, transpercer... C'est dire la violence sous-jacente qui soutient les mouvements brutaux de cette danse.
On savait déjà que l'acte de danser, quelles qu'en soient la forme, les origines historiques, sociales et culturelles met en jeu deux corps dans un quasi-mime de l'acte sexuel. Mais avec le « daggering », le jeu érotique muet se transforme, à en voir les quelques vidéos disponibles sur ce phénomène, en un authentique attentat à la pudeur. Ainsi en ont jugé, en tout cas, les autorités jamaïcaines qui sont allés jusqu'à interdire sur les ondes radios la diffusion le type de musique qui accompagne ou encourage le « daggering ».
Quant au pénis, il peut effectivement casser même s'il ne contient pas d'os. En réalité, c'est l'albuginée, membrane épaisse et solide entourant les corps caverneux du pénis, qui se déchire en cas de choc extrême provoquant une forte douleur. Les chirurgiens urologues parlent alors de fracture pénienne et procèdent à une opération qui consiste à recoudre la déchirure de façon à ce que le sexe cicatrise bien. En effet, si le patient ne consulte pas, il risque de se retrouver avec un pénis mal cicatrisé formant carrément un angle droit lors de l'érection.
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